David Herbert Lawrence
24072011
Très honoré David Herbert,
Je me suis permis d’écrire un texte à votre sujet. Enfin « je », c’est un grand mot, tout petit… Quelque chose m’est venu en 2006 et je viens de remodeler cette matière. « Je » n’écris pas ; le corps retranscrit des faisceaux d’énergies qui s’y rencontrent, s’y jouent, s’y dansent ?
Et puis, ce n’est pas « à votre sujet », c’est autre chose, qui, en fait, nous dépasse toujours, mais on s’y frotte… Toujours.
Vous diriez presque ça, non ?
En relisant ce texte, je me suis dit : « Allez, Hugues, ce n’est pas mal. Ce n’est pas définitif mais Lawrence sera content, je crois. »
« J »’ai essayé de faire sentir le centre agissant de votre travail.
« Je » vous devais cet hommage, à vous qui donnez tant.
Avec tout le respect que « vous » sentez bien, « vous » dans les airs, dans la terre, dans les corps, tout comme « nous » d’ailleurs.
Hugues
le pdf : lawrence.pdf
Catégories : David Herbert Lawrence