À Mariemont les 30 septembre, 1 et 2 octobre 2011

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MaYaK/Phare Papier sera au fameux salon du livre de Mariemont, les 30 septembre, 1 et 2 octobre 2011 (www.marchedulivre.org). 

Nous travaillons pour vous, et pour nous (et pour eux). 

Ainsi, vous verrez sur notre table : Le MaYaK 5, « solitudes en sociétés » tome 1 ; 

Le numéro 0 de la nouvelle collection encyclopédique des savoir-faire et vivre vivifiants : « Manifestes pour une vie plus… », suspens ; 

La dernière réalisation du cabanon d’édition Phare Papier : Footballs, de Chloé Money : « J’aurais pu ne jamais m’intéresser au football. De nature très contemplative, autant par tempérament que par nécessité – les hasards de la génétique m’obligeant à me déplacer en fauteuil roulant – le mouvement demeure pour moi un spectacle impossible à expérimenter et donc, une source intarissable de rêverie […] » 

Et les traces d’un projet mayaque merveilleux (prélude à un voyage d’études en janvier/février) : « Labo de Cultures en Terre Burkinabè ? » ; encore du suspens…  L’assortiment mayaque complet. 

Nos amis qui éditent : Pontos : Jacques Faton et Thierry UmbreitLes réalisations de Muriel Logist qui nous a donné des dessins pour notre nouveau site en construction (par Marie Beia et Mélanie Michelet).  Ses nouvelles épinglettes irrésistibles. 

Venez donc nous rendre visite…   




Le cabanon Paul André à la Bibliothèque de l’Université du Travail (oula), Charleroi

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Le cabanon Paul André sera monté à Charleroi à la Bibliothèque de l’Université du Travail, le lundi 2 mai 2011 et visible dès le 3, jusqu’au 28. 

Et le 27, fête mayaque : dévergonssage, euh, dévernissage, en présence, nous l’espérons bien, des participants aux quatre ateliers d’écriture, organisés par  Marie Beia à partir du travail étonnant de ce poète-penseur d’une ruralité progressiste. Ou d’une Europe des Régions ? 

Le cabanon évolue. Montré à la Librairie Quartiers Latins en janvier et février de cette année, il évoque d’abord le travail de fond de Paul André autour de l’écriture de la mémoire personnelle, familiale et collective. Un travail, en fait, qui touche chacun d’entre nous : comment reprendre, comprendre, approfondir son milieu, ses milieux de vie, par l’écriture… Il propose dorénavant trois rythmes d’entrée pour comprendre le travail de cet écrivain de salubrité publique, disons-le… 

Et le dévernissage : une occasion de nous retrouver et de parler… de l’avenir mayaque…

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Rappelons-le : le cabanon a pu se faire grâce au soutien des Bibliothèques publiques, de la Promotion des Lettres, services du Ministère de la Culture de la CFWB ; et de la Maison de la Culture de Tournai.

Et c’est une réalisation de Mathieu André (ébénisterie), Caroline Léger (textiles), Véronique Debliquis (graphisme) et Hugues Robaye (conception).

Le cabanon Paul André à la Bibliothèque de l'Université du Travail (oula), Charleroi dans actualite mayaque pdf je suis le beau carton d’invitation : ouvrez-moi pour y voir plus clair.pdf




MaYaK aujourd’hui

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runionmayaque540cmret1.jpg Une réunion de préparation pour le M5, dans le décor champêtre de la potterée. Vous reconnaissez le président (que d’aucunes mauvaises langues surnomment « l’âne solennel » ou encore « Sam l’aigle ») qui harangue ses camarades mayaques : Jacques Faton (qui s’est endormi) ; Xavier Vanandruel au premier plan, de dos ; Luc Rémy (à gauche de TH), Muriel Logist (deuxième à droite, de face, avec un béret), Thierry Umbreit (à droite de LR, les deux avec un béret, mais pas le même), Ludmila Krasnova (près de ML) … En arrière-plan, le complexe éditorial et culturel mayaque et l’éolienne du Phare, en construction. Photo de Eugène Chaldei

Le MaYaK 5 se prépare. Avec pour thème : « solitudes en sociétés » ou comment des solitudes nourries (par la musique, le jardinage, le voyage, les liens sociaux interculturels, l’arpentage… Suspens…) génèrent une société plus subtile, aux liens, aux ramifications, plus denses et vivifiants.  La composition d’un numéro de MaYaK réclame du temps. Nous portons longtemps ce numéro en nous, avec ses mots qui viennent de partout et ses images qu’il faut lentement, progressivement associer. Composer tout cela, voir dans ces matières diverses ce qui s’appelle, ce qui se relie, ce qui contraste… Composer et… s’amuser de ces rapprochements, de ces passages… Patience donc, MaYaK le 5 vient… 

Il y a MaYaK mais il y a aussi le cabanon Paul André, que nous retravaillons (avec le graphisme de Véronique Debliquis). Une version plus légère, centrée sur l’écriture de la mémoire, personnelle, familiale, collective (travail au cœur de la démarche de Paul André), sera montrée à Charleroi fin novembre. Cabanon assorti d’ateliers d’écriture centrés, eux aussi, sur ce travail d’écriture disons autobiographique. Les bibliothèques publiques ont reçu la consigne d’aller à la rencontre des publics – et pas spécialement des lecteurs convaincus -, de travailler avec les associations de réinsertion sociale par exemple et c’est à ces personnes, notamment, que s’adresseront les ateliers mayaques. Paul André avait eu l’intention de tenir un kiosque dans la gare de Tournai, où les gens seraient venus déposer des manuscrits ou venus en emprunter. Ecriture spontanée, communication interculturelle et recherche d’identité ; des ateliers (animés par Marie Thiele Beia) partiront de ce souci et d’une pensée de la non violence. Canaliser la violence, les frustrations, par le dialogue, l’échange d’expériences, l’expression écrite ? 

Le GE ! participe également à l’organisation du salon du livre de Tournai. Un salon qui se prépare toute l’année. Composer une programmation, penser la place d’une telle manifestation dans une ville, une région, un pays. Inviter des écrivains, leur faire rencontrer le public. Associer à la préparation du salon différentes institutions d’enseignement, professeurs et étudiants : Académie des Beaux-Arts (texte-image), Institut Saint-Luc (graphisme, scénographie d’espace), Conservatoire d’art dramatique (interprétation de textes), classes du secondaire (rencontre avec les écrivains). Écrivains publics aussi (animations lors du salon). Illustrer des textes, les faire interpréter, produire de petits livres, exposer des travaux d’étudiants…  Que le salon génère une animation littéraire qui dépasse les deux jours de sa tenue (13/14 novembre 2010). Animation littéraire ? En fait, un salon du livre fait réfléchir à l’expression du sens, au rapport à l’écrit (écrire, c’est exprimer, penser/poétiser notre présence au monde ?), à la publication de cela (nécessaire ? Pas toujours…), sous différentes formes, du fanzine (petit livre texte-image photocopié) au livre offset. Fait réfléchir à toutes les formes que l’expression du sens peut prendre. Donc animation dans un sens très actif : montrer l’énergie de la vie qui passe dans ces activités éditoriales. Nous avons en projet des blogs qui montreront toutes ces interactions au cœur du salon et seront comme des vitrines de l’expérience éditoriale et de la vie possible des écrits autour de nous… 

Le GE ! est cohérent et… bosse ! Ainsi, Ludmila Krasnova travaille à un nouveau site (qui sera fait de dessins en NB). Il montrera deux espaces : un bord de mer (très tendance, ça) avec le phare et ses étages (vous le connaissez) et un arrière-pays avec un arbre et une cabane (et un potager, si nous avons encore le temps…). Cet « arrière-pays », c’est le côté public du GE !: salon du livre, cabanon etc. 

Entre-temps, le blog ci-présent (qui vient de dépasser ses 20000 visites) assure la relève… 

C’étaient quelques nouvelles du Phare… 

Hugues Robaye







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