Le cabanon Paul André à la Bibliothèque de l’Université du Travail (oula), Charleroi

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Le cabanon Paul André sera monté à Charleroi à la Bibliothèque de l’Université du Travail, le lundi 2 mai 2011 et visible dès le 3, jusqu’au 28. 

Et le 27, fête mayaque : dévergonssage, euh, dévernissage, en présence, nous l’espérons bien, des participants aux quatre ateliers d’écriture, organisés par  Marie Beia à partir du travail étonnant de ce poète-penseur d’une ruralité progressiste. Ou d’une Europe des Régions ? 

Le cabanon évolue. Montré à la Librairie Quartiers Latins en janvier et février de cette année, il évoque d’abord le travail de fond de Paul André autour de l’écriture de la mémoire personnelle, familiale et collective. Un travail, en fait, qui touche chacun d’entre nous : comment reprendre, comprendre, approfondir son milieu, ses milieux de vie, par l’écriture… Il propose dorénavant trois rythmes d’entrée pour comprendre le travail de cet écrivain de salubrité publique, disons-le… 

Et le dévernissage : une occasion de nous retrouver et de parler… de l’avenir mayaque…

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Rappelons-le : le cabanon a pu se faire grâce au soutien des Bibliothèques publiques, de la Promotion des Lettres, services du Ministère de la Culture de la CFWB ; et de la Maison de la Culture de Tournai.

Et c’est une réalisation de Mathieu André (ébénisterie), Caroline Léger (textiles), Véronique Debliquis (graphisme) et Hugues Robaye (conception).

Le cabanon Paul André à la Bibliothèque de l'Université du Travail (oula), Charleroi dans actualite mayaque pdf je suis le beau carton d’invitation : ouvrez-moi pour y voir plus clair.pdf




Le cabanon Paul André en construction…

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Quelques photos du cabanon, alors encore en construction (d’autres photos bientôt!). Avec deux des premiers tableaux (dans un graphisme de Véronique Debliquis). Et la vitrine qui montre certains objets reproduits dans le parcours articulé qui jalonne les parois extérieures du cabanon.

À la Maison de la Culture de Tournai jusqu’au 8 novembre.

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Le cabanon Paul André à La Maison de la Culture de Tournai (10/10-08/11)

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Chouette, le cabanon Paul André est en place à la Maison de la Culture de Tournai. Encore un peu en construction mais bientôt achevé. Je crois qu’heureusement, il ne sera jamais achevé ; il ne doit pas être achevé ; je m’en suis rendu compte en commençant à réfléchir à ses possibilités, en le voyant devenir réalité, hier (09-10-2009).  Donc, deux cadres de bois – en C – qui s’emboîtent (œuvres de Mathieu André, le fils de Paul André), des « murs » en tissus simplement fixé par des velcros (Caroline Léger  les a conçus) et donc éminemment amovibles. La structure en plusieurs cadres assemblés par des papillons et donc destinée à voyager assez facilement, de bibliothèques en centres culturels. Une surface au sol de 12 m² avec nécessité d’un passage autour. Sur les parois extérieures des tableaux, pour l’instant imprimés sur toile et sur papier chez « Visual Pub » à Tournai qui a fait un travail très efficace, rapide et de qualité… Des tiges de bambou fixées sur la partie sup du cabanon d’où pendent des cordelettes de chanvre reliées à une baguette de sapin à laquelle sont attachés  les tableaux (avec des pinces à linge du plus bel effet cabanonique). Simple… 

Un parcours dans l’écriture-vie ou l’œuvre-vie de Paul André, articulé en une douzaine d’étapes. Un très beau travail graphique fait par Véronique Debliquis (Saint-Luc Tournai) qui a joué sur la forme ronde (une autobiographie inédite de Paul André s’intitule Le Tourne-en-rond et se compose de courts récits-souvenirs sur des périodes différentes de sa vie, où il développe son amour pour la forme ronde (dans le genre de l’autobiographie colorée du peintre Kandinsky)).  À l’intérieur, des photos du bureau de PA, faites par Caroline Léger, des peintures de PA et des monotypes de Nicole André. Et un téléviseur où passe en boucle un montage réalisé par Nicolas Rumpl à partir de séquences tournées par Notélé, la télévision régionale picarde (merci à Notélé !). Et le visiteur peut déposer dans une urne des œuvres inédites sur la mémoire personnelle, familiale et collective : PA avait voulu ouvrir un kiosque à inédits dans la gare de Tournai. Nous prolongeons ainsi ce projet, en nous focalisant sur le travail de mémoire, à la base de l’œuvre du poète-penseur Paul André, et en demandant au visiteur ce genre de texte porteur de socialité. 

Le cabanon, une construction intime dans des espaces publics, un autre espace, un autre temps, des autres temps, rythmes, proposés à notre époque d’affairisme. Le lieu-âme d’un écrivain engagé, nécessaire, déterminé. Passer, regarder, écouter, voir l’écriture de PA, lire des textes de lui, voir son écriture… Une vitrine avec des objets que l’on peut voir sur les tableaux du parcours complète le cabanon. L’accrochage aisé permet de changer rapidement un tableau qu’on aimerait améliorer. Une exposition en devenir… 

Un cheval de Troie mayaque ! comme disait Xavier Vanandruel

Bientôt des photos… 

Hugues Robaye 




MaYaK (se) construit un cabanon

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Sur la plage et à côté du Phare, évidemment… Mais aussi ailleurs, partout… Un cabanon ? Un cabanon « littéraire »: la « plate-forme de communication de savoirs vivifiants », l’association GE !, diversifie ses activités et ses médias. Revue-Livre, ligne d’édition, site (en complète reconstruction, nous en parlerons bientôt), blog… Et maintenant, le cabanon littéraire : un dispositif d’exposition littéraire léger, démontable, déplaçable… De quoi s’agit-il ? D’une cabane d’environ 10 m², armature en bois, murs et toit de tissu. Un espace dédié à un écrivain. Un parcours efficace, rapide, convaincant, juste et beau ( ?) dans la vie-œuvre d’un auteur… De la « publicité transfigurée » (selon l’expression de Paul Nougé, le surréaliste belge) pour des auteurs vraiment… vivifiants. Une construction éphémère, montée dans une bibliothèque ou un centre culturel par exemple, qui convie le visiteur à un parcours. À plusieurs parcours…

À l’extérieur, une série de placards lui font découvrir, à partir de documents d’archives, l’œuvre d’un écrivain. Photos, manuscrits, peintures, courts textes explicatifs, objets accrochés à la structure; un parcours en étapes. Le visiteur entre dans un monde, mais reste encore à l’extérieur… 

À l’intérieur, un dispositif audiovisuel – télé et radio – le rapproche encore plus intimement de l’écrivain. Sur les parois intérieures du cabanon, plus intimes, des extraits courts et émouvants de ses œuvres. Le visiteur devrait sortir de cette courte visite un peu différent, songeur (c’est d’ailleurs l’effet que Paul Nougé voulait à l’art…).

Un dépliant en quadrichromie résume le parcours.

Voilà : un nouveau projet en cours que Caroline Léger (textile), Muriel Logist (graphisme), Mathieu André (ébénisterie) et moi-même (conception) vous préparons.

Inauguration et première : Maison de
la Culture de Tournai le 10 octobre 2009

Le premier cabanon : autour du poète, de l’homme, du clerc dans le désert et les campagnes : Paul André.

Hugues Robaye

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Premiers croquis du cabanon (comme plus haut, divers projets), par Mathieu André (« les copeaux d’abord »)







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